Anders et le “supraliminaire”, ce qui ne peut être perçu parce que trop grand…????????

#CriticalThinking

???????? La pensée riche de Günther Anders…
Je vous invite donc à découvrir cette rencontre récente d’un jeune intellectuel de 99 ans… avec un autre débutant de 82 ans…
Edgar Morin et Pierre Rabhi, nous invitent à une approche par la “pensée complexe”, qui n’a rien de “compliquée”, puisqu’elle incite à établir et rétablir “le lien entre les choses”.
Pour se questionner sur la “modernité” et libérer les potentiels de l’Eros ;)????

▶️✴️ Oui lire ou relire Günther Anders (dont L’Obsolescence de l’homme, 1956, 1980) cela réveille plutôt bien notre esprit critique ????????

???? Internet « en soi » n’est pas questionné dans l’article d’Usbek & Rika (voir lien en commentaire) mais « la honte prométhéenne », un certain progrès inutile et même mortifère… un transhumanisme de fuite pour quelques élites richissimes ????

#PenseeComplexe #Surliminal

???? Jean-Louis Le Moigne (spécialiste de la pensée systémiques et d’une approche constructiviste) proposait son « triangle d’or épistémologique PSM » ainsi : Jean Piaget, Herbert Simon et Edgar Morin ⚙️

Voir l’article sur Gunther Anders dans Usbek & Rika : https://usbeketrica.com/fr/article/pourquoi-il-faut-re-lire-l-obsolescence-de-l-homme-de-gunther-anders 

Anders… formidable penseur qui développa son concept de “supraliminaire” (Anders, 1956, 291-293; entendu comme ce qui ne peut être perçu parce que trop grand) nous éclaire ici encore… ????????

– Anders, G. (2002). L’obsolescene de l’homme: Sur l’âme à l’époque de la deuxième révolution industrielle (1956).

– Mengard, F. (2019). La notion de « supraliminaire » chez Günther Anders: Comment penser le déclin et la renaissance de Prométhée à l’ère technologique ? In H. Machinal & E. Després (Eds.), PostHumains: Frontières, évolutions, hybridités (pp. 119–136). Presses universitaires de Rennes. http://books.openedition.org/pur/52513

????⚙️ Rappelons-nous aussi en des moments tragiques et graves, un certain sens de “la peur” dans l’Histoire…

« This is preeminently the time to speak the truth, the whole truth, frankly and boldly. Nor need we shrink from honestly facing conditions in our country today. This great Nation will endure as it has endured, will revive and will prosper. So, first of all, let me assert my firm belief that the only thing we have to fear is fear itself—nameless, unreasoning, unjustified terror which paralyzes needed efforts to convert retreat into advance. » From Franklin D. Roosevelt, Inaugural Address, March 4, 1933, as published in Samuel Rosenman, ed., The Public Papers of Franklin D. Roosevelt, Volume Two: The Year of Crisis, 1933 (New York: Random House, 1938), 11–16.

« C’est éminemment le moment de dire la vérité, toute la vérité, franchement et hardiment. Nous ne devons pas non plus nous abstenir de regarder honnêtement en face les conditions de notre pays aujourd’hui. Cette grande nation résistera comme elle a résisté, se ravivera et prospérera. Alors, tout d’abord, permettez-moi d’affirmer ma ferme conviction que la seule chose que nous ayons à craindre est la peur elle-même – une terreur sans nom, déraisonnable, injustifiée qui paralyse les efforts nécessaires pour convertir le recul en avance »